un sous-marin nucléaire

 

peut-il naviguer à moins de 80 m ?

 

 

             Alors que les Juges de Quimper concluent le 31 Juillet 2008 que l'implication d'un sous-marin est "hautement probable", la Procureure Mme Kayanakis fait la sourde oreille. On peut apprécier ici la manière dont, experte en langue de bois, elle tente de "noyer le poisson" !

              En ce qui concerne le fond du problème - sans jeu de mots - la thèse du Commandant du Terrible parait peu crédible, quand on apprend par la suite que le sous-marin anglais Turbulent a justement reçu pour mission de s'infiltrer parmi d'autres navires au large de la Cornouailles britannique.

             On peut écouter l'Amiral Mérer qui fait opportunément remarquer que la zone du naufrage est marquée sur les cartes comme "zone d'exercices sous-marins".

             Lors d'une conférence au Cercle de la Mer à Lorient, un officier sous-marinier a précisé qu'un sous-marin nucléaire naviguait confortablement à une profondeur de 50 m et à une vitesse de 20 noeuds.

             Enfin, dernier argument, le Contre-Amiral Salles, désigné domme expert, n'hésite pas à soutenir qu'un sous-marin américain est responsable du naufrage. Celui-ci aurait été en "planque", en observation d'un transport de matières nucléaires en partance de Cherbourg à destination du Japon. Or les bâtiments US sont de dimensions supérieures à celles des flottes anglaise et française.

 

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